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Nazaire
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Didier Moreau, le directeur de la formation des sauveteurs en mer, dans son nouveau bureau, face à la mer
Dans le quartier du Petit Maroc, rue Hippolyte-Durand-Gasselin, Didier Moreau supervise les travaux de ses nouveaux locaux. Le 18 juin, un pôle national de formation de la Société nationale de sauvetage en mer ouvrira ses portes à Saint-Nazaire. Une première pour la SNSM qui espère offrir à ses bénévoles une formation complète de qualité.
Situé face à l'Estuaire, les conditions du site sont idéales : « Nous avons choisi Saint-Nazaire pour son aspect central, au coeur de la façade Atlantique. Les facilités d'accès (train, aéroport, 4 voies, port) que représente la ville nous ont séduites », explique Didier Moreau, directeur de la formation à la SNSM. Un pôle secondaire a également été créé dans le département du Var, à Saint-Mandrier, pour optimiser les déplacements des bénévoles habitant le sud de la France.
Une organisation nationale
Ce site centralise l'action des 31 centres de formation de la SNSM et les 221 stations de sauvetage. L'objectif est de former les formateurs de ces centres. Didier Moreau précise : « Avant, les sauveteurs étaient surtout des professionnels de la mer, issus de la Marine marchande ou de la pêche. La formation se faisait uniquement par transmission orale. Aujourd'hui, nous souhaitions proposer une formation logistique et technique digne de ce nom à nos bénévoles. »
Le centre forme deux familles de sauveteurs : les nageurs-sauveteurs, qui assurent la sécurité des plages et les sauveteurs embarqués, à bord des vedettes de la SNSM. On compte respectivement, pour chaque « famille », 2 500 et 3 500 bénévoles répartis dans toute la France.
Quatre thèmes ont été élaborés en priorité par Didier Moreau et son équipe : l'urgence médicale en mer, la conduite opérationnelle des missions (mise en situation), la plongée et le sauvetage en embarcation semi-rigide. « Nous avons aussi dans l'idée de créer des cours de paddle-board (planche conçue pour se déplacer en mer en utilisant les bras comme en surf) ou des initiations aux IRB (Inflatable rescue boat), des petits bateaux venus d'Australie et de Nouvelle-Zélande », ajoute le directeur de la formation.
Des formations pratiques et théoriques
Les formations sont payantes, entre 300 et 600 € et durent de deux à cinq jours. Elles ne sont ouvertes qu'en interne. « Les stations de sauvetage envoient leurs sauveteurs se former ici. » Ces « formateurs-formés » pourront ensuite prodiguer leur enseignement à des bénévoles estivaux ou annuels.
Les nouveaux locaux disposent, à l'étage, de bureaux administratifs, pour l'équipe des six salariés permanents dont fait partie Didier Moreau, d'une salle de cours modulaire, avec des tables roulantes et pliantes, permettant une optimisation de l'espace et ainsi alterner théorie et pratique, ainsi qu'un centre de ressources, « sorte de médiathèque du sauvetage qui réunit toutes les données et informations sur le sauvetage en mer, au niveau national et international ».
Au rez-de-chaussée, c'est l'espace « d'action ». Un hangar pour stocker les embarcations, une salle pour le matériel, un vestiaire, des douches et surtout, un centre de simulation équipé d'écrans. « Cet espace reproduit les conditions d'une passerelle, avec des écrans panoramiques pour se mettre en condition. Un système d'enregistrement permettra de débriefer sur l'exercice », annonce Didier Moreau, enthousiaste.
Pour rendre la formation plus réelle encore, une simulation d'un Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross), qui prend en charge les accidents maritimes, a également été installé.
De quoi perfectionner encore l'action des bénévoles de la Société nationale de sauvetage en mer qui doivent avant tout, sourit Didier Moreau, « avoir le pied marin ! »
![](https://www.meretmarine.com/images/meretmarinebar630.gif)
SNSM : Le Pôle national va former un millier de sauveteurs chaque année
24/06/2013
![Une vedette de la SNSM. crédits : DROITS RESERVES. Une vedette de la SNSM. crédits : DROITS RESERVES.](https://www.meretmarine.com/sites/default/files/styles/mem_500/public/new_objets_drupal/20130624003815_sns.jpg)
Implanté à Saint-Nazaire, où il a été inauguré le 18 juin 2011, le Pôle National de Formation (PNF) de la Société Nationale de Sauvetage en Mer est un élément fondamental de l’efficacité et de la pérennité de l’association, dont les bénévoles secourent chaque année plus de 8000 personnes au large des côtes françaises. Un outil qui est largement monté en puissance depuis deux ans, passant de 200 sauveteurs formés la première année à 900 en 2012. Et le chiffre devrait continuer de croître. « Les besoins de formation sont de plus en plus importants. Quand on est à la SNSM, il ne s’agit pas uniquement de savoir naviguer. Il faut être formé aux premiers secours et à certaines spécialités, comme patron de canot tout temps ou pilote de jet-ski, nageur de bord ou plongeur. Nous avons aussi besoin de coordinateurs car, aujourd’hui, les opérations de sauvetage sont plus complexes. En mer, nous sommes articulés au sein de différents moyens et les sauveteurs de la SNSM endossent souvent le rôle de relais sur zone des CROSS (Centre régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage, ndlr) », explique Marc Sauvagnac, directeur général de la SNSM. Facilitée par la standardisation des équipements dont les sauveteurs ont pu être dotés ces dernières années, la formation doit permettre aux équipes d’être plus efficaces et de réduire les risques lors des opérations. Il s’agit de passer d’un système plus ou moins « artisanal », qui prévalait autrefois, à une structure de professionnels du sauvetage, à même de proposer aux autorités en charge de la sécurité en mer des capacités opérationnelles mises en œuvre par des sauveteurs qualifiés.
Le Pôle national de Saint-Nazaire (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)
Anticiper les éventuelles actions juridiques
Mais le développement de la formation au sein de la SNSM a également pour but de répondre à des problématiques juridiques. Car, malheureusement, la société évolue vers des recours réguliers devant les tribunaux. Une tendance qui, tôt ou tard, finira probablement par toucher le sauvetage en mer. En effet, même si les bénévoles de la SNSM risquent souvent leur vie pour sauver celles des autres, il n’est pas à exclure qu’un jour, un naufragé ou son entourage porte plainte contre l’association pour telle ou telle raison. « La judiciarisation de la société impose que nous puissions protéger les bénévoles, notamment via la formation car, un jour, il se peut qu’à l’occasion d’une procédure, on nous demande de justifier de leurs qualifications ». Enfin, dans un monde de plus en plus codifié, il était devenu nécessaire de disposer d’un outil à même d’assurer l’intégration, la diffusion et la mise en œuvre de nouvelles procédures. C’est par exemple le cas actuellement avec l’évolution des référentiels de la Sécurité civile en matière de formation au secourisme.
Didier Moreau et Marc Sauvagnac (© : MER ET MARINE - VINCENT GROIZELEAU)
Une manière d’entretenir l’engagement des bénévoles
Les 220 stations de l’association, réparties sur le littoral métropolitain et outre-mer, sont armées par plus 6000 bénévoles. D’anciens marins, provenant notamment des secteurs de la pêche, de l’armée ou de la marine marchande, mais aussi de jeunes actifs et de plus en plus de personnes qui ne sont pas, à la base, des professionnels de la mer. « Le profil des bénévoles change, la moyenne d’âge est de 48 ans, avec beaucoup d’actifs en plus des retraités. Nous avons là des professionnels, mais aussi de plus en plus de plaisanciers ». Les besoins de formation n’en sont que renforcés, afin de permettre aux équipes de maîtriser les procédures et un matériel de plus en plus pointu, avec de nouveaux canots très rapides et bardés d’équipements électroniques. Il s’agit aussi, pour l’association, de vivre avec son temps et de continuer à entretenir la flamme de ses membres. « Nous allons proposer un parcours de formation à nos bénévoles afin qu’ils puissent évoluer dans la structure et, ainsi, préserver leur engagement », explique Didier Moreau, directeur de la formation opérationnelle de la SNSM. Pour Marc Sauvagnac : « Il faut garder l’esprit bénévole dans une société qui évolue. C’est pourquoi nous voulons maintenir cet esprit tout en nous professionnalisant, en proposant un parcours de qualification qui sert la mission et constitue dans le même temps une reconnaissance de l’engagement ».
Les deux vedettes de formation du Pôle (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Assurer la formation des équipages et des nageurs-sauveteurs sur les plages
C’est dans cette perspective qu’une direction nationale de la formation a été créée en 2009 au sein de la SNSM. Objectif : structurer et professionnaliser les actions de formation des bénévoles avec des outils adaptés. Il faut, par exemple, fournir les formateurs permettant de donner des cours dans les 32 Centres d’Information et d’Intervention (CFI) assurant la formation des nageurs sauveteurs chargés de la surveillance et de la sécurité des plages françaises (21.000 interventions chaque été), avec 500 nouveaux jeunes formés par an. Les stages concernent la qualification des sauveteurs à l’exercice de leur mission sur des plages dangereuses soumises aux vagues et aux courants, au pilotage de jets, à la navigation côtière et à la sécurité, ainsi que la formation des moniteurs et instructeurs de secourisme.
Le PNF accueille toute l’année des formateurs bénévoles venant acquérir différentes compétences, qu’il s’agisse d’aspects techniques ou de pratiques de premiers secours, par exemple la délicate manipulation des naufragés. Une fois ces savoir-faire acquis, les formateurs bénévoles font partager leurs connaissances sur le terrain. Ils sont, ainsi, environ 80 formateurs bénévoles à dispenser après leur passage à Saint-Nazaire des cours, aux quatre coins de la France, en plus de leur temps opérationnel au profit de la station à laquelle ils appartiennent.
Salle de cours du Pôle national de formation (© : SNSM)
Il convient également d’assurer la formation des équipages armant les vedettes et canots. Des formateurs passent dans les stations mais les sauveteurs embarqués viennent aussi au PNF de Saint-Nazaire. « Avant, la formation se faisait sous la forme de compagnonnage. Aujourd’hui, il faut formaliser des référentiels, valider les bonnes pratiques et, de là, transmettre des savoir-faire particuliers », précise Marc Sauvagnac. Si le compagnonnage, c'est-à-dire la transmission d’expérience des anciens vers les jeunes, n’a évidemment pas cessé, le Pôle national offre une expertise complémentaire et professionnalisée, tenant compte des dernières pratiques et règlementations en vigueur. Les stages pour les sauveteurs embarqués concernent la formation à la navigation, à la sécurité, au secourisme, à la coordination d’opérations, à la plongée, au pilotage des semi-rigides…ainsi que toutes les formations de formateurs permettant l’encadrement de ces stages. On notera, par ailleurs, que les équipes du Pôle ne fonctionnent pas en vase clos et s’intéressent à ce qui se pratique dans d’autres pays ou d’autres domaines. Ainsi, le centre nazairien travaille avec les professionnels du sauvetage en haute montagne sur les problématiques liées à l’hypothermie.
Simulateur du Pôle national de formation (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Simulateurs et moyens nautiques
Le PNF de Saint-Nazaire, qui comprend 1400 m² de locaux, dispose de différents moyens pour mener à bien sa mission, allant des salles de cours aux bateaux, en passant par des simulateurs. L’un de ces équipements reproduit fidèlement le poste de pilotage d’un canot, avec vision à 270 degrés, et plonge son équipage dans une réalité virtuelle comprenant différents scénarios. « Dans nos deux simulateurs de passerelle, qui peuvent accueillir 6 stagiaires chacun, nous travaillons sur des exercices courts, comme les phases de recherche d’un bateau ou de naufragés à l’eau, ou encore la navigation au radar, ainsi que sur des compétences particulières », précise Didier Moreau. A l’instar des simulateurs que l’on trouve dans les centres de l’Ecole nationale supérieure maritime ou chez les pilotes, les simulateurs des sauveteurs sont à même de reproduire différentes situations et d’augmenter la complexité de la manoeuvre, avec une mer et une visibilité plus ou moins bonnes, ainsi que des avaries sur le canot, par exemple sur la propulsion ou les outils de navigation. Barreur, navigateur et patron de canot vont, ainsi, pouvoir travailler leur coordination et leurs réflexes dans un environnement très dégradé, de manière réaliste et sans danger.
Simulateur du Pôle national de formation (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Simulateur du Pôle national de formation (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Simulateur du Pôle national de formation (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Mais le centre ne se contente pas des cours théoriques et des mises en situation virtuelles. Il dispose également de moyens nautiques, avec trois semi-rigides de 6 et 7 mètres, ainsi que deux vedettes affectées à la formation. Le Pôle national peut, ainsi, assurer la formation pratique des bénévoles à la mer. La flottille compte une vedette utilisée à Saint-Nazaire depuis l’ouverture du PNF il y a deux ans, le Jean Denoyelle. Cette ancienne unité de sauvetage déclassée est certes ancienne, puisque datant de 1972, mais dotée d’équipements de navigation modernes. De petite taille, elle est toutefois dépourvue de plage arrière. « C’est pourquoi nous venons de recevoir une seconde vedette, plus grande, avec une plage arrière permettant de se former à la coordination sur le pont, la mise en œuvre d’une remorque, de plongeurs, d’un canot pneumatique, la récupération de naufragés… », précise Didier Moreau. Ce nouveau bateau, c’est l’Amiral de Castelbajac, ex-vedette de la station SNSM de Royan, construite en 1990 et remplacée au mois d’avril par une nouvelle unité, le Sieur de Mons. L’Amiral de Castelbajac est, selon Didier Moreau, un bateau « très marin et très adapté à la formation », avec l’avantage de présenter une taille intermédiaire entre les petites vedettes et les grands canots tout temps mis en œuvre par les stations de la SNSM. Ce nouveau moyen de formation est donc un outil polyvalent, alors que le Jean Denoyelle sert désormais à la formation à la navigation, mais aussi de navire plastron, en jouant le rôle de bateau en difficulté qu’il faut secourir et remorquer.
Les deux vedettes de formation du Pôle (© : MER ET MARINE - V. GROIZELEAU)
Une association dont le budget dépend aux trois quarts de dons
Pour assurer ses besoins, la SNSM fonctionne essentiellement grâce aux dons, seuls 24% de son budget (24 millions d’euros) provenant des pouvoirs publics (Etat et collectivités territoriales). Alors que l’association gère sur le plan national les achats d’équipements, chaque station doit assurer son fonctionnement par ses propres moyens. « L’essentiel du financement repose sur la générosité du public et des partenaires privés », rappelle Marc Sauvagnac. L’association sait compter sur de nombreux mécènes, notamment de grandes entreprises, en lien direct ou non avec le secteur maritime. Les fonds ainsi récoltés, s’ajoutant aux dons du public, permettent aux sauveteurs d’acquérir le matériel dont ils ont besoin. C’est le cas des équipements individuels assurant leur sécurité lors des opérations en mer, mais aussi du financement de nouvelles vedettes, avec des besoins très importants pour équiper toutes les stations d’outils appropriés. Ainsi, grâce au sommes récoltées, le plan Cap 2010 a permis de lancer un vaste et nécessaire plan de renouvellement des moyens de la SNSM, avec au passage une amélioration de la cohésion et du sentiment d’appartenance à l’association des sauveteurs bénévoles, qui utilisent désormais le même matériel. Mais, pour mener ce programme à son terme et prévoir la suite, car les investissements sont permanents, le flux des donateurs ne doit pas se tarir. La problématique est la même pour la formation, dont le poids, comme on l’a vu, est en augmentation.
Didier Moreau, Marc Sauvagnac et Yvan Parrot (© : MER ET MARINE)
Partenariat reconduit avec le Crédit Maritime
C’est dans ce contexte que la SNSM a accueilli avec satisfaction la décision du Crédit Maritime de renouveler le partenariat conclu en 2009 et qui a fait de cette banque le partenaire officiel de l’association. Créé en 1906 par des marins-pêcheurs et des conchyliculteurs afin de financer leurs projets, pour lesquels les banques traditionnelles refusaient d'accorder des prêts, le Crédit Maritime, dont le champ d’action a été ouvert à l’ensemble de la population littorale en 1975, donne environ 100.000 euros par an à la SNSM. Un soutien « naturel » a estimé Yvan Parrot lors de la reconduction du partenariat, le 18 juin. « Même si nous ne sommes plus aujourd’hui une banque exclusivement dédiée aux professionnels de la mer, nous sommes évidement très liés et sensibles au milieu maritime. Sur les 12 membres de notre Conseil d’administration, 8 sont d’ailleurs issus du monde de la mer, et certains sont bénévoles à la SNSM. Nous défendons des valeurs de solidarité et, pour nous, le partenariat avec la SNSM est naturel ».
Didier Moreau, Marc Sauvagnac et Yvan Parrot (© : MER ET MARINE)
Les dons du Crédit Maritime ont, notamment, servis au financement du PNF, qui vient de recevoir un chèque supplémentaire de 15.000 euros de la part du Crédit Maritime Atlantique, l’une des caisses régionales de la banque, qui a elle seule verse environ 25.000 euros par an à la SNSM. Et le partenariat n’est pas exclusivement financier. « Nous participons à différentes actions pour sensibiliser et faire découvrir la SNSM, par exemple lors de nos assemblées générales et réunions avec les sociétaires, pour lesquelles nous invitons les patrons des stations locales, qui viennent parler de l'action de l'association », souligne Yvan Parrot. Une approche qui, pour Marc Sauvagnac, va dans la droite ligne de l’esprit de la SNSM, certes obligée de faire la course aux dons et aux subventions pour continuer de fonctionner, mais où l'on se fixe des règles claires : « Nous cherchons à nous faire connaître des particuliers et des partenaires privés, dont le soutien est essentiel, mais il faut que ceux-ci partagent les mêmes valeurs que celles de la SNSM. Il ne s’agit pas de faire des partenariats commerciaux ».